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Nordahl Lelandais devenu père en prison : « entre 33 et 35 ans », habite à côté de la prison… on en sait plus sur sa compagne et la mère de l’enfant

Si l’identité de la maman du petit garçon reste inconnue, des détails commencent à fuiter sur son profil, ainsi que son histoire avec le pédocriminel.

Nordahl Lelandais, condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour les meurtres du caporal Arthur Noyer et de la petite Maëlys de Araujo, est récemment devenu père d’un petit garçon depuis sa prison d’Ensisheim, dans le Haut-Rhin. Il s’agirait d’un enfant âgé d’environ deux mois. 

Si l’identité de la mère reste inconnue, des détails commencent à fuiter sur son profil, ainsi que son histoire avec le pédocriminel. Selon les informations d’un correspondant de l’AFP relayées par 20 Minutes, l’homme de 40 ans aurait fait la connaissance de cette jeune femme alors qu’il était détenu à la prison de Saint-Quentin-Fallavier, en Isère.

« Entre 33 et 35 ans », réside à quelques centaines de mètres de la prison

L’enfant aurait néanmoins été conçu après le transfert de son géniteur au centre pénitentiaire d’Ensisheim, dans l’enceinte même de la prison alsacienne. L’établissement dispose de petits logements où les prisonniers peuvent s’isoler avec un ou plusieurs de leurs proches. C’est vraisemblablement pendant ces moments d’isolement que l’ancien maître-chien et sa compagne auraient construit leur relation.

Toujours selon cette source, la compagne de Nordahl Lelandais aurait « entre 33 et 35 ans » et résiderait justement à Ensisheim, à quelques centaines de mètres de l’établissement pénitentiaire où est incarcéré le quadragénaire.

« À gerber »

Si Me Mathieu Moutous, l’un des avocats du détenu, insiste sur le fait que « la privation de liberté n’entraîne pas la suppression des autres droits, notamment celui d’avoir une compagne ou de devenir père », la naissance du fils du meurtrier multirécidiviste a suscité de vives réactions. 

La maman de la petite Maëlys, Jennifer Maeco de Araujo, a jugé cette nouvelle « écœurante, à gerber », dans un post Facebook publié ce samedi 13 janvier. « Nous nos enfants n’ont pas eu le droit de vivre, s’est-elle insurgée, estimant qu’il est « dommage que la castration chimique ne soit pas utilisée en France ». 

La mère d’Arthur Noyer s’est elle aussi dite « écœurée » par l’annonce de la paternité du meurtrier de son fils.

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