Scandale sexuel dans une prison : des surveillants pénitentiaires organisaient des ébats pendant le service avec des tirages au sort

La maison d’arrêt de Lantin, en Belgique, est au cœur d’une polémique après que des surveillants ont organisé des ébats sexuels entre eux et pendant le service. 

En Belgique, un scandale sexuel a été mis en lumière à la maison d’arrêt de Lantin. Plusieurs surveillants pénitentiaires sont mis en cause pour avoir organisé, pendant le service, des ébats sexuels, révèle Sudinfo. En tout, une dizaine d’entre eux serait concernée, dont 3 femmes. 

Selon nos confrères, un bureau était spécialement dédié pour les relations sexuelles entre les surveillants. Un système de tirage au sort aurait même été mis en place pour déterminer les personnes qui allaient coucher ensemble.

Marc Brisy, le directeur de l’établissement, a réagi après ces révélations en envoyant un mail en interne aux surveillants. »Je ne pensais pas qu’un jour je serais amené à écrire ce genre de courriel », a-t-il indiqué en précisant que « l’établissement est un lieu de travail, pas un club de rencontres ». 

Depuis, l’une des gardiennes a été écartée par la direction de la prison « pour calmer ses pulsions ». « Dès 6 heures du matin, elle faisait savoir que si elle n’avait pas de sexe, elle ne pourrait pas travailler », relatent nos confrères belges.