Dans un développement choquant, la célèbre chaîne de supermarchés espagnole, Eroski, est sous le feu des critiques après avoir été accusée de vendre des produits marocains comme étant espagnols. Cette révélation a déclenché une vague de mécontentement sur les réseaux sociaux et a poussé les consommateurs à remettre en question la transparence de la chaîne de distribution.
Dans une vidéo virale diffusée en ligne, une cliente mécontente a révélé avoir découvert que les poivrons vendus comme étant espagnols chez Eroski étaient en réalité d’origine marocaine. Cette découverte a suscité un tollé parmi les consommateurs, remettant en question l’intégrité et l’éthique de la chaîne de supermarchés.
Les réseaux sociaux ont rapidement été inondés de messages de désapprobation, certains appelant au boycott total d’Eroski et de ses produits. Une cliente a exprimé son indignation, déclarant que les supermarchés devraient être transparents quant à l’origine des produits qu’ils vendent.
En réaction à ces allégations, une campagne de boycott contre Eroski a été lancée sur les médias sociaux, incitant les consommateurs à éviter les magasins de la chaîne jusqu’à ce que des mesures appropriées soient prises.
Cette controverse survient dans le contexte d’une grève des agriculteurs espagnols, qui protestent contre la concurrence déloyale des produits importés du Maroc. Les producteurs espagnols ont intensifié leurs efforts pour empêcher l’importation de produits marocains, mettant en place des barrages routiers et détruisant les cargaisons entrantes.
Le scandale des produits marocains chez Eroski met en lumière les défis auxquels sont confrontés les consommateurs dans un marché mondialisé, soulignant l’importance de la transparence et de la traçabilité dans la chaîne d’approvisionnement alimentaire.
