Carcassonne : l’un était ivre au volant et sans permis, l’autre circulait en téléphonant sur un vélo volé
En civil ou en tenue, les fonctionnaires de police du commissariat de Carcassonne restent attentifs à tous les comportements suspects sur la route. Lundi 13 novembre, en début de soirée, deux usagers de la route ont en fait les frais sur le boulevard Omer-Sarraut.
Lundi vers 22 h, c’est parce qu’il téléphonait en roulant avec un comportement bizarre, qu’un cycliste a été intercepté par un équipage de police qui circulait sur le boulevard Omer-Sarraut à bord d’un véhicule sérigraphié. Lors des constatations faites sur le vélo, les policiers vont alors s’arrêter sur des traces laissant à penser qu’il a été volé. Ne parlant pas le français, le suspect a été interpellé et transporté au poste de police pour de plus amples vérifications. De là, il apparaîtra que le suspect est de nationalité algérienne, et qu’il est âgé d’une vingtaine. Placé en garde à vue différée compte tenu de la barrière de la langue, il n’aurait pas pu justifier de la provenance du vélo lors de son audition qui s’est faite avec un interprète. Ce mardi 14 novembre, il était toujours dans l’attente de son sort dans le cadre de cette procédure pour « recel de vol ».
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Toujours lundi soir, mais cette fois-ci vers 23 h 45, c’est lors d’une patrouille sur le secteur de la gare, qu’un équipage de la brigade anticriminalité (Bac) a été frappé par la conduite hasardeuse d’un automobiliste sur le boulevard Omer-Sarraut. Intercepté dans la foulée, le suspect avait semble-t-il des relents d’alcool. Lors de la vérification administrative, il est aussi apparu qu’il circulait avec un permis non prorogé, au volant d’une voiture non couverte par une assurance. Son véhicule ainsi placé en fourrière, la personne a été transportée dans les locaux du commissariat, où elle a été soumise à un dépistage d’alcool qui a révélé un taux de 0,73 mg par litre d’air expiré dans l’éthylomètre (soit 1,46 g dans le sang). Le conducteur en infraction a été placé en garde à vue différée, afin de pouvoir être entendu après son dégrisement. Ce mardi 14 novembre après-midi, il était toujours retenu au commissariat.
