Maroc : Retrait de Nouveaux Livres Étrangers des Bibliothèques et des Grands Surfaces

Dans un coup de théâtre inattendu, le ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement primaire et du Sport au Maroc a secoué le pays en retirant brusquement de nouvelles publications étrangères des rayons des bibliothèques et des étals des grands marchés. Cette décision a créé un buzz national ces derniers jours.
Selon les révélations explosives d’Omar Sosani, le secrétaire général de l’Association des Écrivains du Maroc, quatre livres tout droit venus de France ont été retirés de la circulation. Ces mesures draconiennes font partie d’une série de contrôles drastiques et soulèvent des questions troublantes.
Parmi les ouvrages bannis, un manuel de géographie qui présentait une carte du royaume incomplète a particulièrement retenu l’attention. De plus, des histoires françaises contenant des éléments en totale contradiction avec les enseignements de l’islam et les valeurs chères aux Marocains ont été épinglées. Ces révélations fracassantes ont mis en lumière les failles béantes dans le processus de sélection des livres importés.
Omar Sosani a vivement critiqué ce qu’il considère comme un « laisser-aller » du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement primaire et du Sport dans la gestion des livres importés, soulignant que ceux-ci devraient être minutieusement examinés avant de faire leur entrée dans les bibliothèques et les marchés.
De manière intrigante, il a suggéré que le Maroc pourrait envisager de revoir sa stratégie d’importation de livres étrangers, et peut-être même se passer totalement de ces importations au profit des ouvrages destinés aux missions étrangères. Selon lui, le pays a progressivement augmenté sa production de livres en français et en anglais au cours des dernières années.
Cette affaire intervient après le retrait soudain, la semaine dernière, d’un manuel scolaire étranger dans un grand marché de Rabat, en raison de son contenu lié à l’homosexualité. Cette situation a provoqué une large vague d’indignation, avec de nombreux parents et tuteurs exigeant son retrait via les réseaux sociaux, tout en réclamant un renforcement de la surveillance des livres importés.
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