Économie

Le retrait de la liste grise de GAFI, une réponse claire aux adversaires du Maroc (écrivain journaliste libanais)

Le retrait du Maroc de la liste grise du Groupe d’Action Financière (GAFI) est une réponse claire à ceux qui ne manque aucune occasion pour porter atteinte au Royaume, a souligné l’écrivain et journaliste libanais Khairallah Khairallah.

Sous le titre “Le Maroc et la liste grise: un événement extraordinaire,” paru lundi au journal londonien “Alarab,” le journaliste libanais écrit que l’événement est une reconnaissance du rôle positif du Maroc dans le domaine de la lutte contre le terrorisme et le blanchiment d’argent.

Cette décision prise à l’unanimité est une réponse à ceux qui utilisent le Parlement européen et d’autres instances européennes en France et ailleurs, pour entraver le processus du développement du Maroc et la politique de transparence suivie dans le Royaume.

La décision de GAFI renforcera la position de leadership du Royaume dans la région et au niveau mondial, a-t-il ajouté, notant qu’il consacre la nouvelle position du Maroc qui fait face à des campagnes menées par différentes partie afin de freiner sa marche.

Cette marche a fait du Royaume un havre de stabilité dans une région en proie aux problèmes et aux crises, dont la plus importante est la crise du régime algérien qui pense que les slogans creux lui épargnent de chercher à résoudre la crise de confiance avec le peuple algérien.

En définitive, la corruption du peuple algérien à travers la distribution des recettes du pétrole et du gaz contre la paix sociale, ne fait pas office d’une politique d’un pays qui se respecte, telle que la politique menée par un régime contrôlé par un groupe militaire, à l’instar de la méthode stalinienne qui remonte à une époque déconnectée des développements et mutations que connaît le monde actuellement, a écrit Khairallah Khairallah.

Le retrait du Maroc de la liste grise de GAFI coïncide avec l’inscription de l’Afrique du Sud sur cette liste, a-t-il soulevé, expliquant que la sanction de ce pays qui soutient le “polisario” est une preuve que le monde fait la différence entre des pays qui travaillent pour se développer et s’adapter aux mutations et des pays qui refusent de le faire.

D’autre part, le retrait du Maroc de cette liste est un pas de plus vers la reconnaissance du rôle pionnier du Royaume, confirmé par les investissements qu’il entreprend dans de nombreux pays africains, a-t-il conclu.

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