Misfits Boxing avait menacé d’annuler le match de boxe à venir entre Dillon Danis et Logan Paul si Danis n’avait pas supprimé une image de Nina Agdal qui avait fuité et qu’il avait postée sur X.
Le combat très attendu entre Dillon Danis et Logan Paul devrait avoir lieu en octobre, et il pourrait être l’un des événements de boxe des influenceurs les plus explosifs à ce jour, grâce à leur querelle continue sur les médias sociaux.
Depuis des semaines, Danis a publié des messages à propos de la fiancée de Logan Paul, le mannequin danois Nina Agdal. Il a partagé des photos d’elle aux côtés d’hommes riches et célèbres, sous-entendant qu’elle avait couché avec eux, ainsi que des images du mannequin portant des vêtements suggestifs ou nue.
Cela a entraîné une série de harcèlements envers Agdal, et elle a finalement riposté contre Danis en intentant un procès complet le 6 septembre.
Dans la poursuite, Agdal a affirmé avoir subi « humiliation, détresse émotionnelle et préjudice à sa réputation » en raison des publications incessantes de Danis à son sujet, et a même allégué qu’une de ses publications avait enfreint la loi fédérale et étatique.
Misfits Boxing avait menacé d’annuler Logan contre Dillon à cause de la photo de Nina Agdal
Ce n’est pas tout ; les documents judiciaires indiquent également que Danis avait posté une photo de Nina dans une « nudité frontale complète », qu’il n’avait pas supprimée jusqu’à ce que Misfits Boxing le force à le faire en menaçant d’annuler son combat avec Paul s’il n’obtempérait pas.
« À un moment donné, Danis a fini par supprimer à contrecœur la publication contenant la photographie », lit-on au point 32 de la poursuite d’Agdal. « Misfits Boxing, le promoteur du combat de Danis avec Paul, a ordonné à Danis de supprimer la publication et a menacé d’annuler le combat s’il ne se conformait pas. »
La photo en question aurait été prise lors d’une rencontre romantique il y a plus de dix ans et aurait été prise sans le consentement d’Agdal, selon la poursuite.
« À l’époque où la photo a été supprimée, elle avait été vue des centaines de milliers, voire des millions de fois, et avait été enregistrée et partagée un nombre incalculable de fois », lit-on dans la poursuite.
