ChatGPT: Les 34 métiers que l’IA ne pourra jamais remplacer

En ces derniers mois, le phénomène ChatGPT est en train de bouleverser de nombreuses industries. Alors que Goldman Sachs estime que 300 millions d’emplois sont menacés par l’intelligence artificielle, les premières entreprises prennent déjà des mesures drastiques pour faire face à cette vague. IBM, par exemple, travaille actuellement sur le remplacement de 30 % de ses 26 000 employés par ChatGPT afin d’optimiser ses coûts.

OpenAI, l’entreprise à l’origine de l’algorithme révolutionnaire ChatGPT, a voulu évaluer l’impact de sa création sur le monde du travail. À cette fin, elle a dressé une liste des 34 métiers qui, selon elle, ne seront jamais affectés par l’intelligence artificielle.

Dextérité, créativité, empathie et relationnel

Ces métiers ont en commun de nécessiter des compétences humaines que l’IA ne pourra jamais remplacer (heureusement !) telles que la dextérité manuelle, la créativité, l’empathie ou encore le sens du relationnel. Ils impliquent également une présence physique sur le terrain, une capacité à s’adapter à des situations imprévues et même une prise de risque. Autant de paramètres auxquels une IA ne pourra jamais prétendre.

Les 34 métiers qui ne seront jamais affectés :

Quels métiers doivent nous inquiéter ?

Les emplois figurant sur cette liste s’opposent aux métiers qui reposent sur des tâches répétitives, routinières ou standardisées, et qui peuvent être facilement automatisées, tout comme ChatGPT. Parmi ces métiers, on trouve notamment la comptabilité, la traduction, la rédaction, le développement web, le secrétariat ou encore le service client. Les postes les plus élémentaires seront rapidement remplacés, il est donc essentiel de savoir évoluer afin de ne pas se faire dépasser par les algorithmes.

Dans le rapport publié par OpenAI, les fondateurs estiment que 80 % de la masse salariale américaine sera impactée, de près ou de loin, par le logiciel ChatGPT. De plus, ils estiment que 19 % des métiers seront affectés à hauteur de 50 % par l’intelligence artificielle, sans toutefois être totalement remplacés. Une chose est certaine : tout le monde devra s’adapter face à cette révolution qui n’en est qu’à ses débuts.

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